AFEAVIE a organisé une conférence autour du thème: Regards pluriels féminins entre prisons physiques et prisons mentales le dimanche 2s Avril, à Mansel Hotel, sis au quartier Fouda.
La prison mentale n’a ni barreaux, ni serrures. vécue inconsciemment, elle est plus dévastatrice que la prison physique et d’après certains chercheurs, les maladies de l’homme sont à près de 80 % dues à leur mauvais état émotionnel. Les maltraitances, les viols, les abus et les déceptions en sont à l’origine, engendrant ainsi la peur, le doute, la honte, la culpabilité, les larmes versées en silence etc. Cette prison invisible se construit lentement, s’installe insidieusement et s’érige en véritable norme ou réalité pour le « prisonnier ». Une situation qui peut entraîner la mort spirituelle puisqu’on n’est plus en harmonie avec son créateur. Pour rester dans la joie et la stabilité qui n’est défini nul autre part que dans son créateur il faut au préalable une guérison intérieure conforme à la Bible : «l’ Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés ».
Dans le même processus de guérison l’on a appris de la conférence qu’il faut : éviter le déni et reconnaître la situation, avoir des pensées justes et pouvoir s’accepter, évitez de lutter contre les mauvaises habitudes et lutter pour les bonnes habitudes, remplacer les mensonges par la vérité car c’est cette dernière qui conduit à la repentance.
AFEAVIE est une association civile, à but non lucratif, qui accompagne les femmes dans le processus de prise de conscience de leurs responsabilités et œuvre pour voir le leadership féminin émerger en ce qui concerne la promotion et la préservation de la vie : au travers de deux outils : le renforcement des capacités de la femme et la construction de son image. La présidente de l’association, Dr. Créscence Nga Beyeme épse Aboro a commis un ouvrage qui s’inscrit dans le même sillage intitulé « SORTIR DE SA CAGE ». L’auteure recommande alors à la femme de se détourner des discours mensongers, afin de s’abreuver de la connaissance véridique de celui, qui l’a redéfinie à la croix en mourant et en ressuscitant en tant que « ELLE ». Et se faisant, elle aura choisi de sortir de sa cage pour expérimenter la vraie liberté !
DESCRIPTION DU LIVRE
Femme, tu ne sortiras jamais de ta cage, si tu ne choisis pas de sortir des systèmes, qui t’ont jusqu’ici et parfois à ton insu mal façonné. En effet, tant que l’on ne sait pas, qui on est, on ne saura jamais, ce que l’on a et par voie de ricochet, ce que l’on a à faire. C’est donc dans le voyage même de la quête de son identité, condition de sa liberté, que l’auteur vous introduit. Vous vous découvrirez certainement dans ses questions, et c’est la raison pour laquelle, il vous sera aisé de vous retrouver également dans la solution, qu’elle présente. C’est le cri de cœur d’une femme déchirée et aux prises avec elle-même, auquel le Père céleste n’a pas été indifférent. Par son Esprit, il l’a accompagnée, l’a guérie et il lui a donné les paroles de vie. Tu peux également bénéficier du même accompagnement en lisant ce livre et faire de Christ ta réalité afin d’entrer dans ta vraie vie.
La particularité de ce livre, est que l’auteur de manière délibérée a choisi de cheminer avec toi dans sa quête de la liberté, au travers des discours de la tradition, de la modernité et post modernité et enfin de la religion. Tout en démontrant l’incapacité de ses discours à assouvir sa quête, elle vous présente la connaissance par excellence, à savoir l’Évangile. Opérant, comme un miroir, il permet à la femme de découvrir toute sa beauté et la gloire, qui est attachée à sa personne, car elle est le reflet du Fils glorieux du Père Céleste par qui et en qui tout subsiste.
L’auteure, C. Nga Beyeme épouse Aboro, est enseignante des facultés de droit à l’Université de Yaoundé II,Soa (Cameroun) et à l’Université Catholique de l’Afrique centrale (UCAC).