Après la vague de difficultés liées à la crise sanitaire du covid-19 et fidèle à sa dynamique, le SYNPCE a réuni les acteurs des métiers de beauté et d’esthétique dans la capitale politique pour démarrer la nouvelle année.
A l’occasion de cette assemblée générale, les présidents régionaux et leurs seconds ont convergé vers Yaoundé, dans le but de renforcer leur coopération sur les mécanismes devant conduire à un mouvement syndicale dynamique et prospère. Les assises du 02 mars 2022, ont jeté les bases d’une mobilisation autour de différents enjeux fondamentaux au cœur des débats de ce jour :Les problématiques liées à la disproportion entre la taille des structures, les taxes reversées et les montants des redevances publicitaires ainsi que des droits d’auteurs. Fort de ces difficultés, les membres du syndicat entendent mener un plaidoyer auprès des autorités pour un infléchissement des coûts asphyxiants. Ces actions ne peuvent porter leurs résultats positifs que si les opérateurs du secteur prennent conscience de l’importance d’adhérer à la coorporation, d’où l’appel de la présidente à l’inscription de nouveaux membres pour une grande influence. Les questions des salons de coiffure clandestins, des produits cosmétiques dépigmentants ou contrefaits, le manque de formation et des prestations faites à vil prix étaient également à l’ordre du jour. Pour annihiler ces maux, nouvelle équipe mis place devra donc s’ atelier à définir un cadre de coopération entre le syndicat les décisionnaires et les leaders d’opinions, mais aussi mettre en relief la communication sur le rôle et l’importance de la profession.
Emmanuel MANGUELLE