Le cabinet MIND TRHUST consulting a organisé à ce sujet une conférence de presse dans la salle de convivialité du musée nationle. L’ ordre du jour a porté sur la restitution des travaux de visite d’une délégation camerounaise dans l’Etat du Maryland au mois d’avril dernier et la formation pour l’exportation et la commercialisation sur le marché américain qui se déroulera du du 6 au 8 juillet prochain en prélude à l’inauguration de la zone de libre échange pour la promotion des produits made in cameroon.
Évenement très couru, le congrès du retour des afrodescendants tenu l’année dernière a été un signe prémonitoire de la volonté de renouer avec les sources. Ajouté à cela, la pandémie de la Covid-19, qui a bouleversé les habitudes de consommation, la demande en produits biologiques ou en aliment « sans OGM » a explosé sur le sol americain. Conscients de ce que la plupart de ces produits naturels ne peut que provenir de l’Afrique, les afrodescendants ambitionnent investir sur continent pour être approvisionné en abondance. L’ opportunité qui s’offre ainsi au Cameroun est une occasion de fédérer toutes les énergies pour le developpement inclusif du pays, booster la production locale et favoriser l’attractivité des territoires via l’économie sociale et solidaire. Pour relever le défi d’exporter aux USA, l’Afrique en générale et la Cameroun en particulier devra devenir une véritable mamelle nourricière. Et ce challenge passe par la mise en synergie des acteurs de la décentralisation pour honorer les engagements en termes de quantité et de qualité des produits demandés. Les retombées du trade center des produits mic ne sont plus à démontrer, hors mis l’exonération des droits de taxe douanière, les entrepreneurs pourront nouer des partenariats d’affaire et capter des facilités pour des projets économiques structurants.
E.M