En prenant les reines de l’organisation en début 2021, la présidente local de la Jeune chambre internationale plaçait son mandat sous le prisme de la mutualisation des forces pour l’atteinte des objectifs qui lui ont été assignés. Un an après, le bilan reluisant des activités menées sur le terrain se passe de tout commentaire.
Durant la mandature écoulée, la présidente sortante a été sur tous les fronts. Son cheval de bataille, combattre la pollution des mœurs et bannir les discours haineux chez les jeunes. A ces cancers sociaux, s’ajoute les problèmes liés à la gente fémines.
La jeune activiste engagée dans la société civile, qui milite sans relâce pour les droits des femmes, a su faire preuve de leadership pour valoriser et exalter leurs prouesses en tant que mères, épouses et personnes ressources. C’est dans cette optique que plusieurs conférences portées sur l’épanouissement de cette couche vulnerable ont été organisées. Autre fait marquant c’est le séminaire organisé à l’ Université protestante sur les dicours haineux. Devant les autorités de cette institution universitaire la diplômée de l’IRIC portée par l’amour de la patrie et œuvrant au quotidien pour son rayonnement a su convaincre ses congénaires sur les dangers de ces pratiques. Lors de son discours de fin de mandat, elle a invité le fer lance de la nation à croire dur comme fer en l’avenir et à faire montre de patience et de résilience.
La Jeune Chambre International (JCI), est un mouvement mondial de jeunes citoyens actifs âgées de 18 – 40 ans. Elle est basée dans plus de 125 pays et est représenté dans plus de 2000 communautés a travers le globe. Sa vision et son crédo se résume en l’humanité.