« La mort : écriture plurielle d’une géographie de la vie », tel est le thème du colloque international pluridisciplinaire qui s’est ouvert ce 13 novembre 2024 à l’école normale supérieure de Yaoundé.
Fin de vie pour l’existence pour certains, transmutation et changement de statut ou d’état pour d’autres, la mort est ce mystère que la société camerounaise de géographie a décidé de questionner. Contrairement aux habitudes, le compteur des communications est au bord de l’explosion, mais compte tenu des délais, le comité d’organisation sous la houlette du Professeur René Joly Assako Assako n’en a retenu que 250, preuve de l’engouement que suscite la thématique. La société savante dans un élan d’objectivité et d’honnêteté intellectuelle avoue l’incapacité de la seule science géographique si pertinente et efficiente soit-elle, à adresser une thématique aussi transversale que la mort. Ainsi, les communications rassemblées relèvent des domaines, disciplines et sciences aussi variées que la géographie, la médecine, le droit, l’économie, la sociologie, l’anthropologie, la religion, les sciences politiques et la diplomatie. Elle seront présentés en présentiel et en ligne par des chercheurs du Cameroun et d’autres pays Africains comme le Gabon, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Sénégal, le Tchad etc., mais aussi des pays européens et nord-américains.
Discours de René Joly Assako Assako, Professeur titulaire hors-échelle des universités, Président de la Société Camerounaise de Géographie.
Mot du Pr. Jean Njoya, Vice-recteur Université Yaoundé 1
Discours du Pr. Marcel Fouda Ndjodo, Inspecteur général académique au Minesup, représentant du ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur.