150 personnes ont répondu à l’invitation de l’ambassadeur camerounais André Magnus Ekoumou vendredi 29 septembre dernier en France.John Billy Eko, consul général du Cameroun à Paris et l’ensemble des diplomates en service à la chancellerie et dans les services techniques ont pris part à cette rencontre. Il était question pour cette élite de la communauté camerounaise de l’Hexagone constituée d’artistes, d’écrivains, de dirigeants de cabinets et think tank, d’universitaires, d’avocats et notaires d’élus locaux, d’opérateurs économiques, de médecins et de cadres en communication d’apporter leurs propositions en vue de la réussite de cet événement. Ces derniers ont également eu droit à un exposé de l’ambassade sur les enjeux des travaux de novembre et les thématiques qui seront abordées ainsi que l’état d’avancement des préparatifs.
Une occasion propice pour André Magnus Ekoumou de louer la grande qualité et de la diaspora camerounaise de France et son esprit d’engagement patriotique. Dans son propos liminaire, l’ambassadeur en se félicitant de ces retrouvailles familiales a dit qu’elle étaient la traduction une fois de plus de la pratique de la diplomatie de proximité et d’actions concertées. Lesquelles sont adossées sur les vertus de rassemblement et d’ apaisement qu’il ne cesse de déployer depuis son arrivée en France Il y a un peu plus de 3 ans comme chef de mission diplomatique. Dans cette veine, les interventions des uns et des autres feront l’objet d’une synthèse qui sera mise à la disposition du comité scientifique créé par le gouvernement dans le cadre de la Conférence ministérielle annoncée. Les échanges ont par ailleurs connu la présence comme invité d’honneur de Maka Kotto, acteur, cinéaste et homme politique, ancien député et ancien ministre québécois de la Culture et de la Communication d’origine camerounaise.
participation remarquée également de Louis Henri Ngantcha, député, membre de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale du Cameroun et président du Réseau des parlementaires pour la coopération décentralisée (Repcod)