La conférence de presse officielle de la 28e édition des Écrans Noirs s’est tenue le 10 octobre à la maison de la Radio CRTV. Le festival qui a été reconnu d’utilité publique par décret présidentiel, annonce un lot d’activités qui se tiendront du 19 au 26 octobre 2024 à Yaoundé.
Le rendez-vous phare du paysage cinématographique camerounais, dans sa traditionnelle mission, de promouvoir le cinéma africain et les films des étrangers fait sur l’Afrique et le monde noir, fait son bout de chemin. Pendant 27 éditions, le plus grand festival de cinéma en Afrique centrale fédère des rencontres, véhicule des émotions et offre aux cinéphiles des productions africaines cultes. Depuis 2008, il détecte, encourage et récompense les talents. Conscients du chemin parcouru, les organisateurs souhaitent donner du poids à ce 28ème clap placé sous le thème « intelligence artificielle et cinéma africains ». Au menu, un colloque international organisé par le Cerdotola, les assises de la production cinématographique camerounaise, le marché du film etc.
Pour récompenser le parcours des Ecrans Noirs, le président de la République, Paul Biya a signé le 28 avril 2016, un décret qui confère à l’association Ecrans noirs un statut d’utilité publique. Une reconnaissance que le délégué général Bassek ba Khobio dédie à ses multiples partenaires, les médias, les différentes équipes du festival et le public qui l’ont toujours accompagné. Cette récompense qui confère à l’association un certain nombre d’avantages spécifiques, salue son œuvre de promotion et de formation dans le domaine cinématographique. Un défi que l’association est désormais tenue de relever au fil des années.
Mot de Madeleine Soppi Kotto, directrice centrale du pôle radio CRTV
Mot du délégué général des Ecrans Noirs, Bassek ba Kobhio
Mot du Dr. Boris Yadia, Enseignant chercheur de cinéma
Mot de Madame Heleine Ebah sur la sélection officielle du festival
Mot de Jean Eudes Biem, coordonnateur scientifique et technique du Cerdotola
Mot de Eugene Dang, attaché du directeur délégué de la CMCA
Mot de Raphaël Mouchango, coordonnateur des programmes du Goethe Institut
Phase des questions-réponses